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Mis à jour le 25/09/2025

Vous vous demandez comment ouvrir un gîte ? Le marché de la location saisonnière profite d’une dynamique solide, portée par une demande croissante pour les séjours authentiques.

Parmi toutes vos obligations, vous devez notamment choisir un statut juridique, déclarer votre activité en mairie et respecter la réglementation relative à la location saisonnière. Dans ce guide, nous vous expliquons étape par étape comment réussir l'ouverture de votre gîte.

Qu’est-ce qu’un gîte ? Définition

Un gîte est un meublé de tourisme, mis en location de manière saisonnière

Il s’agit d’un logement entièrement meublé et équipé, mis à disposition d’un vacancier, pour un usage exclusif. Le locataire dispose de toutes les pièces (cuisine, salle de bain, chambre, salon…) et n’a pas à cohabiter avec le propriétaire ou d'autres vacanciers.

Le gîte est souvent associé à un environnement rural, mais il s’applique à tout type de location touristique meublée, notamment :

  • une maison de campagne ;

  • un appartement en ville ;

  • un chalet en montagne ;

  • une villa en bord de mer. 

Quelles différences entre gîte et chambre d’hôtes ?

Bien que les deux soient des hébergements touristiques, gîte et chambre d’hôtes répondent à des logiques différentes.

Critère

Gîte

Chambre d’hôtes

Indépendance

Logement entièrement autonome (entrée, cuisine, pièces de vie privées)

Logement chez l’habitant, avec espaces partagés

Durée de séjour

Location à la semaine ou au week-end

Réservation à la nuitée

Prestations incluses

Sur option

Petit-déjeuner obligatoire, souvent linge, ménage et accueil compris

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Pourquoi ouvrir un gîte ?

Une activité porteuse de sens

Ouvrir un gîte, c’est s’engager dans une activité à dimension humaine

  • vous vous adressez à des voyageurs en quête d’authenticité ;

  • vous partagez votre connaissance du territoire ;

  • vous valorisez un bien immobilier chargé d’histoire ou d’identité locale. 

Ce type de projet permet de créer du lien, de transmettre un patrimoine et de faire vivre un lieu autrement que par sa simple valeur marchande.

C’est aussi une manière d’agir localement, en participant au développement d’un tourisme plus respectueux et ancré dans les réalités du territoire.

Le tourisme rural représente aujourd’hui près de 30 % des séjours en France. Même s’il ne concentre pas la majorité des dépenses touristiques, il répond à une demande en forte croissance pour des séjours courts, immersifs et responsables.

Un marché en pleine croissance

Le marché de la location touristique connaît une dynamique très favorable. En 2025, les nuitées en location saisonnière ont progressé de 14 % au niveau national, avec des pics à +28 % pour les courts séjours au printemps

Ce développement s’explique par l’évolution des habitudes de voyage : les touristes recherchent plus de flexibilité, des hébergements à taille humaine et des expériences personnalisées, loin des standards hôteliers.

Bon à savoir : La demande se renforce dans les zones rurales, littorales et de montagne, notamment grâce à un regain d’intérêt pour la nature, le patrimoine et les destinations moins fréquentées. 

Une rentabilité potentielle

Un gîte bien géré peut générer un revenu régulier, que ce soit en complément d’une activité principale ou dans le cadre d’une reconversion professionnelle. 

La rentabilité dépend bien sûr de la localisation, de la qualité du bien, de la saisonnalité et de la stratégie tarifaire.

Mais les perspectives sont encourageantes : en 2025, le panier moyen pour une location saisonnière atteint environ 2 200 € pour une semaine estivale, avec une tendance stable malgré l’inflation.

Le retour sur investissement se joue généralement sur le moyen terme, entre 3 et 5 ans. Pour cela, il faut adopter une gestion rigoureuse et proposer une offre adaptée à la clientèle visée. 

Se poser les bonnes questions avant de se lancer

Quel est l’objectif du projet ?

Avant d’ouvrir un gîte, vous devez clarifier votre intention derrière ce projet : s'agit-il d’un projet d’activité principale, qui vous permettra de vivre à l’année ? Ou d’un complément de revenus ? La réponse aura un impact direct sur votre modèle économique, vos investissements et votre disponibilité.

Il faut aussi prendre en compte la nature de votre bien : est-il déjà adapté à la location saisonnière, ou devez-vous l’acheter puis faire des travaux de rénovation ? Le niveau d’investissement initial, les délais de mise en service et les démarches à prévoir ne seront pas les mêmes.

Quel type de gîte proposer ?

Tous les gîtes ne répondent pas aux mêmes attentes. Entre un grand logement familial en zone rurale, un gîte d’étape pour randonneurs, un gîte éco-construit ou un hébergement à thème, les possibilités sont nombreuses. 

Bon à savoir : Le type de gîte que vous proposerez doit s’inscrire dans une logique cohérente avec votre cible, votre territoire et vos valeurs.

Si vous êtes situé sur un itinéraire de randonnée fréquenté, un petit gîte fonctionnel et accessible aura plus de sens qu’un hébergement haut de gamme. 

À l’inverse, dans une zone touristique prisée, un logement avec de belles prestations ou une identité forte pourra se démarquer. 

Les étapes clés pour ouvrir un gîte

1. Réaliser une étude de marché

Avant de se lancer dans l’ouverture d’un gîte, vous devez analyser le contexte local, notamment la demande dans votre secteur géographique ainsi que le niveau de concurrence.

Il est donc recommandé de faire une étude de marché. Cela va vous permettre de : 

  • mieux connaître votre cible : profil des visiteurs, saisonnalité, durée moyenne des séjours, attentes spécifiques ;

  • analyser l’offre existante : gîtes déjà présents, hôtels, locations Airbnb, capacité d’hébergement globale et niveau de remplissage.

Cela vous permettra d’adapter votre positionnement et de proposer une offre qui répond à une vraie demande.

2. Choisir sa localisation

Si vous n’avez pas encore acheté de bien, prenez le temps de bien réfléchir à sa localisation. Cela va influencer votre taux d’occupation et vos tarifs de location.

Idéalement, il faut choisir une localisation qui allie accessibilité, attractivité touristique et cadre de vie agréable.

Vous avez plusieurs options : 

  • un secteur proche de sentiers de randonnée ou d’activités de plein air ;

  • une zone littorale située à proximité des plages ;

  • un village classé ou un site patrimonial reconnu ;

  • un territoire animé par des festivals ou des événements culturels ;

  • une commune disposant de commerces, d’une gare ou d’infrastructures touristiques.

3. Rédiger le business plan

Tout comme l’étude de marché, le business plan n’est pas obligatoire. Néanmoins, élaborer ce document va vous permettre de mesurer la rentabilité potentielle de votre projet. Cette étape est donc vivement recommandée.

Le business plan comprend notamment : 

  • un budget prévisionnel (coûts d’achat, travaux, aménagement, fonds de roulement) ;

  • une estimation des charges annuelles (entretien, électricité, fiscalité, plateformes) ;

  • une projection des revenus attendus en fonction du taux d’occupation et des tarifs ;

  • un plan de financement (apport, emprunt, aides publiques) ;

  • des scénarios d’évolution (optimiste, réaliste, prudent) ;

  • une estimation de la rentabilité et du retour sur investissement de votre gîte.

Bon à savoir : Si vous envisagez de faire un emprunt bancaire, la banque peut exiger un business plan de votre part.

4. Choisir le bon statut juridique

La mise en location d’un gîte, même ponctuelle, constitue une activité commerciale. Vous avez donc l’obligation de  choisir un statut juridique pour l’exploiter. Sans cela, vous ne pourrez pas déclarer vos recettes à l’administration fiscale.

Ce choix est important : il détermine notamment la manière dont vous serez imposé et vos obligations comptables. 

Vous avez plusieurs options :

  • Le statut de LMNP (loueur en meublé non professionnel) : cette solution est idéale si la location de gîte est une activité accessoire. Il permet de réduire vos impôts, notamment grâce à la déduction des charges et amortissements (uniquement au régime réel). C’est un statut simple à créer.

  • L’auto-entreprise : c’est un régime fiscal particulier de l’entreprise individuelle. Il est facile à créer et à gérer. Il convient aux projets modestes avec peu de charges. Vous ne pourrez pas déduire vos dépenses, ni amortissements. Votre chiffre d’affaires annuel sera plafonné.

  • La création d’une société (SARL, SAS) : c’est une solution adaptée aux projets plus ambitieux (par exemple si vous avez des associés ou que vous prévoyez des investissements importants). La création et la gestion d’une société sont nettement plus complexes.

Statut

Fiscalité

Comptabilité

Avantages

Inconvénients

LMNP

Impôt sur le revenu

Choix entre micro-BIC ou régime réel

Allégée 

Simple à créer

Déductibilité des charges et amortissements (régime réel)

Réservé à la location meublée

Auto-entrepreneur

Impôt sur le revenu

Micro-BIC 

Ultra simplifiée

Création et gestion simplifiée

Plafond annuel de chiffre d'affaires

Pas de déduction possible

SARL/SAS

Impôt sur le revenu ou sur les sociétés

Complète

Structure évolutive

Crédibilité

Possibilité d’associer des tiers

Coûts de création

Gestion lourde


Vous pouvez faire appel à un cabinet d’Expertise-Comptable comme JD2M pour vous aider à bien choisir.  Cela peut vous éviter les erreurs difficiles à rattraper par la suite.

5. Financer son projet

Si votre apport personnel est insuffisant, vous pouvez faire un prêt bancaire. Il faudra prouver la faisabilité et la viabilité de votre projet en fournissant un business plan solide.

Notez aussi que les régions proposent parfois des subventions. Ces aides visent à soutenir la rénovation de logements touristiques, notamment dans les zones rurales ou les territoires en déclin démographique. Ces aides sont souvent conditionnées à des critères de qualité ou de performance énergétique.

On peut citer par exemple :

  • La subvention de la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui peut couvrir jusqu’à 30 % des dépenses éligibles pour la modernisation ou la rénovation de meublés de tourisme.

  • L’ aide de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Région Sud), qui prend la forme d'une subvention d'investissement plafonnée à 100 000 euros correspondant à 60 % du montant total des dépenses éligibles, notamment pour les projets respectueux de l’environnement comme ceux labellisés « Clef Verte » ou « Écolabel européen ».

  • Le dispositif d’ aide aux gîtes d’étape en massifs, en Nouvelle-Aquitaine, qui subventionne entre 15 % et 25 % des coûts pour la création ou la rénovation de gîtes situés en zone de montagne ou de plateau.

6. Réaliser les travaux et aménagements

La capacité d’un gîte ne peut pas dépasser 15 personnes. Votre logement relève donc des règles générales de construction des bâtiments d'habitation.

Vous devez donc être vigilant sur les points suivants : 

  • Installation électrique conforme à la norme NF C 15-100 (tableau de répartition, disjoncteurs, mise à la terre…) ;

  • Équipements gaz certifiés, ventilation adaptée, détection des fuites recommandée ;

  • Système de ventilation naturelle ou mécanique (VMC) ;

  • Isolation thermique et phonique : respect des normes en vigueur ;

  • Les escaliers, balcons, ouvertures doivent présenter des garde-corps conformes ;

  • Les issues doivent permettre une évacuation rapide ;

  • Alimentation en eau potable, évacuation conforme, présence d’un WC et d’une salle d’eau par tranche de capacité.

Bon à savoir : Proposez aussi des prestations de qualité : literie confortable, cuisine bien équipée, connexion Wi-Fi fiable, rangements fonctionnels, etc.

Quelle réglementation respecter pour ouvrir un gîte ?

Déclaration obligatoire en mairie

Tout meublé de tourisme doit faire l’objet d’une déclaration en mairie. Pour cela, il faut remplir le formulaire Cerfa n°14004*04 (soit au format papier, soit directement depuis le site de la mairie). 

Cette démarche est obligatoire, même si vous ne demandez pas de classement préfectoral.

Vous devrez peut-être aussi demander une autorisation de changement d’usage. Il convient de vous renseigner auprès de la mairie où se situe votre bien.

Contrat de location saisonnière

La loi impose de signer un contrat locatif saisonnier entre le propriétaire et le locataire, même si la location est temporaire. Il doit préciser :

  • le prix demandé ; 

  • les conditions d’annulation ;

  • le montant de la caution ;

  • la durée du séjour.

Vous devez y annexer un état des lieux, un inventaire des meubles et équipements, un dossier de diagnostic technique et enfin un état descriptif des lieux.

Pour vous aider, n’hésitez pas à utiliser notre modèle de contrat de location saisonnière

Assurance responsabilité civile

Vous devez souscrire une assurance responsabilité civile spécifique pour couvrir les risques liés à l’accueil de voyageurs dans un logement touristique (dégâts, accidents, litiges...).

Taxe de séjour

Si votre commune a institué une taxe de séjour, vous devez la collecter auprès de chaque client puis la reverser à la mairie ou l’EPCI compétente. Il faut vous renseigner auprès de la commune pour connaître les modalités précises.

Fiche de police (touristes étrangers)

Si vous accueillez des touristes de nationalité étrangère, vous devez leur faire remplir et signer une fiche individuelle de police à leur arrivée.  Il faut la conserver 6 mois et la tenir à disposition des autorités compétentes (police ou gendarmerie).

Immatriculer son activité de loueur en meublé

Les qualités et formations pour réussir

Gérer un gîte demande à la fois du savoir-faire et de bonnes aptitudes personnelles :

  • de l’ organisation et de la rigueur pour planifier, anticiper et tout garder sous contrôle ;

  • le sens de l’accueil pour mettre les voyageurs à l’aise et leur proposer une expérience de qualité ;

  • la réactivité pour gérer les imprévus sans stress ;

  • une aisance avec les outils numériques pour assurer la visibilité de votre gîte et suivre les réservations ;

  • des bases solides en gestion locative et en accueil touristique pour bien encadrer votre activité.

Aucune formation n’est obligatoire pour ouvrir un gîte. Cependant, certaines chambres de commerce et organismes privés proposent des modules sur la gestion d’hébergement, la relation client, le marketing digital et l’accueil touristique. Apprendre une langue étrangère, comme l’anglais, peut aussi être un plus.

Communiquer efficacement pour remplir son gîte

Créer un site internet professionnel

Il peut s’agir d’un site très simple. L’essentiel est qu’il décrive bien votre gîte. Vous pouvez y mettre des photos, une description du logement et des alentours. N’oubliez pas d’y indiquer vos tarifs et vos coordonnées. Vous pouvez aussi prévoir un outil de réservation en ligne.

Pour augmenter la visibilité de votre site, il est important d’optimiser son référencement naturel (SEO) : mots-clés adaptés, contenu pertinent, etc.

S’inscrire sur les plateformes de réservation

Vous pouvez aussi inscrire votre gîte sur des plateformes de réservation en ligne, comme Booking, Airbnb, Abritel, etc. Prenez le temps de rédiger une annonce attractive.

Notez que ces plateformes prélèvent une commission sur vos réservations.

Travailler son image et ses avis

Soyez à l’écoute et réactif pour obtenir des avis positifs. Prenez le temps de répondre aux commentaires, même aux critiques, avec courtoisie et professionnalisme. 

Vous pouvez aussi mettre en place un programme de fidélisation, en proposant par exemple des offres spéciales.

Valoriser son offre avec un label

L’obtention d’un label reconnu, tels que Gîtes de France, Clé Vacances ou Tourisme & Handicap, va renforcer la visibilité et la crédibilité de votre gîte auprès des voyageurs. 

Chaque label impose des critères précis à respecter. Il faut donc contacter chaque organisme ou se renseigner sur leur site web.

Bon à savoir : Vous pouvez aussi demander un classement préfectoral (de 1 à 5 étoiles). Cela permet d’être référencé sur certaines plateformes institutionnelles et peut ouvrir droit à des avantages fiscaux. Vous pouvez retrouver toutes les informations utiles sur le site Atout France.

FAQ

Comment ouvrir un gîte en France ?

Il faut d’abord réaliser une étude de marché et un business plan puis choisir un statut juridique. En fonction des travaux à prévoir, vous devrez peut-être trouver des financements.

Vous devez respecter vos obligations réglementaires (déclaration en mairie, assurance, contrat de location).

Quel est le budget pour ouvrir un gîte ?

Cela dépend de votre projet. Votre budget doit inclure le prix d’achat du bien, les éventuels travaux de rénovation ou d’aménagement, les équipements nécessaires, les frais de communication, ainsi que les assurances et frais administratifs.

Si vous faites un emprunt, les banques exigent généralement un apport personnel représentant entre 20 % et 30 % du montant total du projet.

Quelle autorisation pour ouvrir un gîte ?

La principale formalité est la déclaration de votre meublé de tourisme en mairie (formulaire Cerfa n°14004*04). Selon la commune, vous devrez peut-être demander une autorisation de changement d’usage.

Est-ce rentable d’ouvrir un gîte ?

Cela dépend de nombreux facteurs : emplacement, qualité du logement, saisonnalité, etc. S’il est bien géré un gîte peut générer des revenus complémentaires intéressants, voire constituer une activité principale rentable à moyen terme.

Peut-on vivre de la location d’un gîte ?

Oui, c’est possible s’il y a une forte demande et que votre offre est adaptée à la clientèle. Il faut aussi être prêt à y consacrer beaucoup de temps.

Quelle différence entre un gîte et une chambre d’hôte ?

Le gîte est un logement indépendant loué pour une durée plus longue, sans prestation obligatoire. La chambre d’hôtes est une chambre chez l’habitant avec petit-déjeuner inclus. Elle est souvent louée à la nuitée.

Quel diplôme ou quelle formation pour ouvrir un gîte ?

Il n’y a pas de diplôme obligatoire. Vous pouvez suivre une formation en gestion d’hébergement touristique, relation client, communication digitale ou langue étrangère.

Quelles sont les règles à respecter pour ouvrir un gîte ?

Votre bien doit respecter les normes de sécurité. Il faut aussi déclarer votre logement en mairie et souscrire une assurance responsabilité civile.

Miniature Stéfano Demari Article rédigé par Stéfano Demari

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