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Mis à jour le 13/11/2025

Les petites villes séduisent plus que jamais les investisseurs en 2025 : prix d’achat abordables, rendements supérieurs et demande locative bien réelle.

Mais derrière ces atouts, les disparités restent fortes. Certaines communes offrent un potentiel solide, d’autres cachent des fragilités économiques ou démographiques.

Pour éviter les erreurs et viser la performance, découvrez une méthode d’analyse fondée sur les données, et notre sélection actualisée des petites villes les plus prometteuses selon votre profil, votre budget et votre stratégie d’investissement.

L’attrait d’un investissement locatif dans une petite ville

Petites villes où investir : de quoi parle-t-on ?

Dans cet article, on parle de « petites villes » au sens immobilier du terme, et non selon la stricte classification de l’INSEE.

Ici, il s’agit de communes comptant entre 20 000 et 150 000 habitants, c’est-à-dire des territoires à taille humaine, offrant un marché immobilier actif sans les contraintes des grandes agglomérations.

En dessous, la demande locative peut être trop limitée ; au-dessus, on entre déjà dans la catégorie des villes moyennes.

Ce positionnement intermédiaire séduit par des marchés plus accessibles et moins volatils. Le prix au mètre carré varie de 1 500 à 3 000 € dans l’ancien, contre 4 000 à 8 000 € dans les métropoles. Ces villes conjuguent qualité de vie, emploi local, infrastructures de proximité et bonne connexion régionale.

Pour un investisseur, elles représentent un compromis idéal : rendement supérieur, risque maîtrisé et budget d’entrée raisonnable. Les petites villes conviennent aussi bien à une diversification patrimoniale qu’à un premier investissement locatif raisonné.

Petites villes vs métropoles : quel arbitrage privilégier ?

Investir dans une petite ville revient souvent à choisir un meilleur rendement locatif au détriment d’une liquidité moindre. En 2025, le rendement locatif des petites villes reste supérieur à celui des grandes métropoles, souvent compris entre 5 et 7 % brut, contre 3 à 4 % dans une métropole.

Le différentiel vient de prix d’achat inférieurs alors que les loyers restent proches, d’où une meilleure rentabilité immédiate. De plus, ces villes échappent souvent à l’encadrement des loyers et aux restrictions sur les meublés touristiques, permettant un cash-flow immobilier positif dès la première année avec un financement bien calibré.

La contrepartie : une liquidité à la revente plus faible et un risque de vacances locatives en cas de dépendance économique ou de mauvaise desserte.

Pour sécuriser son investissement, mieux vaut cibler des communes cumulant emplois diversifiés, flux étudiants ou touristiques, et projets de rénovation urbaine. Ainsi, la petite ville devient un levier rentable et durable à condition d’être choisie avec méthode.

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La méthode pour choisir les meilleures petites villes où investir

Les 10 indicateurs à pondérer 

Pour identifier la petite ville où investir en 2025, il ne suffit pas de se fier à l’intuition ou au « bouche-à-oreille ». La démarche doit être structurée et mesurable, à partir d’indicateurs pondérés selon leur influence sur la rentabilité et la sécurité du placement.

Voici les 10 critères clés, avec une pondération indicative pour construire votre propre modèle d’analyse :

  • Prix moyen d’achat au m² (15 %) : plus il est bas, plus le rendement potentiel est élevé.

  • Loyer médian au m² (10 %) : reflète la tension locative et le pouvoir d’achat local.

  • Taux de vacance locative (10 %) : un taux supérieur à 7 % doit alerter.

  • Dynamique démographique (10 %) : croissance = sécurité locative.

  • Emploi et taux de chômage (10 %) : diversité économique et stabilité.

  • Part d’étudiants (10 %) : moteur de location meublée et LMNP.

  • Accessibilité (10 %) : gare, axes routiers, distance à la métropole la plus proche.

  • Offre de soins et équipements publics (5 %) : attractivité pour familles et seniors.

  • Projets urbains et revitalisation (10 %) : indicateur de valorisation future.

  • Pression fiscale locale (10 %) : taxe foncière, fiscalité sur le bâti et les revenus fonciers.

Chaque indicateur est noté de 0 à 10 selon des données publiques (INSEE, DGFIP, observatoires régionaux). Pour les comparer, on normalise les valeurs : 10 pour la ville la plus performante sur un critère, 0 pour la plus faible, et un score proportionnel pour les autres.

Calculer le score et interpréter

Additionnez les notes pondérées pour obtenir un score global sur 100. Exemple simplifié :

Ville type

Étudiante (30 000 hab.)

En reconversion (60 000 hab.)

Touristique (45 000 hab.)

Prix/m² moyen

6

9

7

Loyer/m²

8

6

7

Vacance locative

9

5

8

Dynamique démographique

7

6

8

Emploi/chômage

7

5

6

Part d’étudiants

10

4

6

Accessibilité

9

7

8

Offre de soins/équipements

7

6

7

Projets urbains

8

7

7

Pression fiscale

7

8

6

Score total (pondéré)

81

63

72


Interprétation :

  • > 70 : opportunité forte à étudier dès maintenant (ex. ville étudiante dynamique).

  • 50–70 : marché à explorer quartier par quartier selon la typologie du bien.

  • < 50 : marché à éviter, sauf stratégie très ciblée (niche touristique ou Denormandie).

Top des petites villes 2025 pour votre investissement locatif 

Villes étudiantes (demande régulière, rotation maîtrisée)

Les villes étudiantes de taille intermédiaire offrent une sécurité locative durable, un taux d’occupation élevé et des loyers stables.

  • Limoges : autour de la faculté de médecine et du campus de la Borie, les studios et T1 meublés se louent 11 à 13 €/m².

  • Poitiers : centre historique et plateau universitaire, forte tension locative avec un rendement brut moyen de 6 à 7 %.

  • Belfort : université technologique, forte demande en colocation meublée.

  • Albi : campus Jean-François Champollion, marché fluide pour les T1/T2 rénovés à 12 €/m².

Ces petites villes où investir avec un petit budget conjuguent rotation locative maîtrisée et prix d’achat accessibles (de 1 700 à 2 200 €/m²).

À retenir : privilégier les biens proches des universités et des transports, meublés et faciles à entretenir.

À vérifier localement : taux de vacance pendant l’été et la part des étudiants internationaux.

Villes en reconversion / industrielles (potentiel de revalorisation)

Les petites villes industrielles en transition séduisent par des prix planchers et des projets de revitalisation soutenus.

  • Mulhouse : dynamisme transfrontalier, rendement jusqu’à 7 % mais prudence sur le choix du quartier.

  • Saint-Quentin : centre ancien rénové, programmes Denormandie actifs.

  • Béziers : marché hétérogène, à cibler autour du centre et des axes TGV.

Points de vigilance : dépendance économique à un employeur dominant et vacance locative intra-urbaine. Les biens récents ou rénovés affichent le meilleur rapport sécurité/rendement.

Villes touristiques et patrimoniales (mix longue durée/saisonnière)

Parmi les meilleures petites villes pour investir, ces communes combinent attractivité touristique et revenus locatifs variables.

  • Chartres : tourisme religieux et proximité parisienne, marché du meublé longue durée solide.

  • Albi : centre UNESCO, location saisonnière rentable mais à encadrer selon la réglementation.

  • Avignon (si le budget le permet) : forte demande en festivals, mais encadrement de la location courte durée à vérifier.

L’idéal consiste à adopter une double stratégie : louer à l’année à un étudiant ou un actif, puis basculer sur une location meublée de courte durée l’été.

Dans certains cas, l’alternative du meublé longue durée reste plus simple à gérer et fiscalement stable, notamment lorsque la réglementation locale limite les locations saisonnières.

À retenir : miser sur un bien polyvalent pour ajuster entre location classique et saisonnière.

À vérifier localement :
règles sur la location courte durée et saisonnalité réelle du marché.

Villes « hub » bien connectées (navetteurs/actifs)

Ces communes bien reliées aux grands pôles attirent cadres et télétravailleurs et figurent parmi les meilleures petites villes pour investir.

  • Tours : à 1 h de Paris, forte demande sur les T2/T3 meublés proches gare.
  • Metz : bassin frontalier, bons rendements pour colocation d’actifs.
  • Nîmes : desserte TGV, marché équilibré avec un rendement net de 5 %.

À retenir : viser la proximité immédiate des gares, zones d’emploi et universités.
À vérifier localement : prix des parkings, taux de mobilité des actifs et développement des télécentres.


Ces exemples illustrent une méthode d’analyse, à adapter selon les données locales avant toute décision d’investissement.

Cas pratiques chiffrés

Étude de cas d’une ville étudiante

Prenons l’exemple d’un studio de 22 m² à Poitiers, acheté 90 000 € FAI (dont 5 000 € de frais de notaire). Après 3 000 € de rafraîchissement, le bien est loué 480 €/mois charges comprises, soit 450 € nets hors charges.

Les charges de copropriété et assurances (PNO + GLI) représentent 40 €/mois, la taxe foncière 600 €/an, et les vacances estimées à 1 mois/an.

  • Rendement brut : (450 × 12) / 90 000 = 6 %.

  • Rendement net : environ 4,8 % après charges et impôts locaux.

  • Cash-flow mensuel : pour un prêt de 20 ans à 3,6 % avec 10 % d’apport, la mensualité s’élève à 460 €, soit un cash-flow immobilier proche de l’équilibre.

Sur 10 ans, le TRI atteint 6,5 % avec un DPE C, mais descend à 4,5 % si le bien reste en DPE E (hausse de la vacance, revalorisation moindre). La performance énergétique conditionne directement la rentabilité nette à long terme.

Étude de cas d’une ville en reconversion, achat avec travaux

Dans une ville comme Saint-Quentin, un T3 de 65 m² se négocie 78 000 € (1 200 €/m²). En investissant 22 000 € de travaux pour remettre le bien aux normes et viser le régime LMNP au réel, l’investisseur le loue 720 €/mois meublé.

  • Rendement brut : (720 × 12) / 100 000 = 8,6 %.

  • Rendement net : environ 6,2 % après charges et taxe foncière.

  • Cash-flow mensuel : +60 € sur un prêt de 20 ans à 3,8 %.

Scénarios de sensibilité :

  • +10 % de loyer : cash-flow +110 €/mois.

  • +1 point de vacance : rentabilité nette -0,5 pt.

  • +15 % de CAPEX : TRI ramené à 5,8 %.

Les simulations confirment l’intérêt des petites villes rentables, à condition d’intégrer chaque paramètre économique avant l’achat.

Définitions : 

  • Rendement brut : rapport entre le loyer annuel et le prix d’achat du bien.
  • Rendement net : rendement brut après déduction des charges, impôts et assurances.
  • Vacances locatives : période pendant laquelle le bien n’est pas loué.
  • Cash-flow : solde mensuel entre loyers perçus et dépenses (crédit, charges, taxes).
  • CAPEX : dépenses d’investissement (travaux, rénovation) destinées à valoriser le bien.
  • TRI (taux de rendement interne) : indicateur de rentabilité globale prenant en compte les flux sur toute la durée de détention.

Neuf vs ancien en petite ville : arbitrer avec le DPE et la fiscalité

DPE et rénovation énergétique

Le DPE reste un critère décisif dans le choix entre ancien et neuf. Les logements classés G seront interdits à la location dès 2025, les F à partir de 2028, puis les E à horizon 2034. Pour un investisseur en petite ville, cela impose d’intégrer le coût de la rénovation énergétique dans le plan de financement.

Les travaux de mise aux normes varient selon la typologie :

  • Isolation des combles : 30 à 60 €/m².

  • Remplacement des fenêtres : 400 à 800 € par unité.

  • Pompe à chaleur ou chaudière à condensation : 5 000 à 10 000 €.

Un logement passant de F à D peut gagner 10 à 15 % de valeur et 50 € à 100 € de loyer mensuel en moyenne, selon la tension locale. L’équilibre financier dépend donc du coût des travaux rapporté à la valorisation future et à la pérennité locative.

Fiscalité et dispositifs

Côté fiscalité, le LMNP au régime réel s’impose souvent dans les petites villes pour amortir le bien, le mobilier et les travaux, optimisant ainsi le cash-flow net. Le micro-BIC, plus simple, reste adapté aux loyers inférieurs à 77 700 € (ou 15 000 € pour les meublés touristiques non classés).

Pour les centres anciens, le dispositif Denormandie permet une réduction d’impôt jusqu’à 21 % du coût de l’opération, sous condition de rénovation significative et de location à loyer plafonné. Certaines communes ajoutent des primes locales à la rénovation ou des aides DPE ciblées.

Le neuf, bien que conforme aux normes RE2020 et attractif fiscalement (frais réduits, faible entretien), affiche souvent un prix/m² plus élevé et un rendement inférieur à l’ancien rénové. L’arbitrage repose sur le couple performance énergétique / rentabilité nette.

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Les stratégies d’exploitation selon le persona de votre locataire

Étudiants et jeunes actifs

  • Cibler les studios meublés ou colocations proches des campus et transports.

  • Anticiper le turnover et les vacances estivales.

  • Intérêt du meublé : souplesse du bail et amortissement fiscal en LMNP réel.

Familles et seniors

  • Privilégier les T3/T4 en rez-de-chaussée ou avec ascenseur.

  • Secteurs recherchés : proximité écoles, commerces, soins.

  • Le bail nu offre une stabilité durable, le meublé ajuste la rentabilité.

  • L’indexation IRL protège la valeur du placement.

Mix longue durée / saisonnière

  • Louer à l’année (étudiant, actif) et en courte durée l’été.

  • Vérifier la réglementation locale sur les meublés touristiques.

  • Nécessite logistique fiable (ménage, gestion des clés).

  • Gain potentiel : +1 à +1,5 point de rentabilité nette annuelle.

Les risques d’un investissement locatif dans une petite ville

Liquidité à la revente

La revente peut prendre plus de temps qu’en métropole, surtout pour les biens atypiques ou surcotés. Pour limiter ce risque, mieux vaut viser des logements « universels » : T2 ou T3, idéalement situés dans un quartier central ou un secteur résidentiel déjà établi. La présence d’un stationnement ou d’un extérieur valorise nettement la revente.

Il est aussi recommandé de privilégier les copropriétés saines, avec un fonds de travaux alimenté et peu de contentieux. Enfin, la rentabilité doit être envisagée sur un horizon de détention d’au moins 8 à 10 ans pour lisser les cycles immobiliers.

Vacance et dépendance économique

Les vacances locatives constituent le principal risque en petite ville. Pour la réduire, il faut diversifier : à la fois intra-ville (en variant les typologies de logements) et inter-villes (en répartissant ses investissements sur plusieurs bassins d’emploi).

Une petite ville dépendant d’un seul grand employeur expose à une fragilité accrue en cas de fermeture ou délocalisation. Surveiller la dynamique des projets urbains, les zones d’activités en développement et la stabilité des effectifs publics aide à anticiper ce risque.

Copropriétés et charges

Les charges peuvent rapidement peser sur la rentabilité si la gestion de la copropriété est défaillante.

Avant d’acheter, il est essentiel d’auditer les procès-verbaux d’assemblée générale, le fonds de travaux et la sinistralité de l’immeuble (fuites, ravalements, ascenseurs). Une hausse de 15 à 20 % des charges sur cinq ans n’est pas rare : mieux vaut l’intégrer dans le plan de financement pour sécuriser le cash-flow immobilier sur la durée.

À vérifier localement : Les normes évoluent vite. Avant tout achat, il faut s’assurer de la validité du diagnostic DPE et de sa compatibilité avec les interdictions de location à venir. Dans certaines communes touristiques, la location courte durée est soumise à autorisation ou contingentée par la mairie.

Une veille réglementaire locale est indispensable pour éviter une interdiction future de louer ou une perte de rentabilité.

En 2025, les petites villes confirment leur potentiel pour les investisseurs : prix d’achat modérés, rendements attractifs et demande locative solide. Mais chaque marché a ses spécificités : démographie, emploi, DPE ou réglementation sur les locations meublées.

Avant d’acheter, il faut donc confronter les données à la réalité du terrain et projeter son rendement net sur la durée. Vous souhaitez estimer le potentiel de votre futur bien ? Testez dès maintenant notre simulateur de rentabilité locative pour savoir quel rendement locatif attendre d’un investissement en LMNP.

FAQ

Comment vérifier le taux de vacance locative d’une petite ville avant d’acheter ?

Consultez les données de l’INSEE (rubrique Logements vacants) ou des observatoires locaux de l’habitat. Un taux inférieur à 7 % indique une tension locative correcte.

Vous pouvez aussi interroger les agences immobilières locales pour connaître la durée moyenne de mise en location selon la typologie du bien.

Quels documents locaux consulter pour évaluer une petite ville où investir ?

Le PLU (Plan local d’urbanisme) informe sur les zones constructibles et les projets d’aménagement. Le projet de revitalisation du centre-ville, les projets ZAC ou campus figurent sur les sites des mairies et intercommunalités. L’INSEE fournit des données clés sur la démographie, l’emploi et le revenu médian.

Quelles assurances prévoir et à quel coût ?

Le calcul du rendement d’un investissement locatif passe également par la prise en compte des charges et notamment le coût des assurances : 

  • GLI (Garantie Loyers Impayés) : 2 à 3 % du loyer annuel.

  • PNO (Propriétaire Non Occupant) : 80 à 150 €/an selon le bien.

Quelle durée de détention viser ?

Une détention minimale de 8 à 10 ans permet d’amortir les frais d’achat, de travaux et de lisser les cycles immobiliers avant revente.

Miniature Stéfano Demari Article rédigé par Stéfano Demari

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