Mis à jour le 19/12/2025
Vous envisagez de déléguer la gestion de votre Airbnb à un professionnel ? Il s’agit d’une décision importante car cela aura des conséquences directes sur votre rentabilité, le niveau de services et la qualité d’expérience proposée aux voyageurs.
Dans cet article, nous comparons les 3 modes de gestion possibles (autogestion, co-hôte, conciergerie), avec leurs avantages, leurs limites et leurs coûts réels. Nous vous expliquons aussi concrètement la marche à suivre en fonction de l’option choisie.
Messages à toute heure, allers-retours pour le ménage, check-in compliqués, imprévus qui s’accumulent… La gestion de votre Airbnb pèse sur votre vie personnelle et vous manquez de temps ? Il est important de ne pas laisser cette situation s’installer car cela pourrait nuire à la qualité de vos prestations et donc à l’expérience client.
De la même façon, si vous constatez une baisse de visibilité de votre annonce sur Airbnb ou une occupation plus faible hors saison, cela peut être le signe qu’il faut consacrer davantage de temps à son optimisation (tarifs, photos, description, communication).
Si vous manquez de disponibilité, déléguer la gestion de votre Airbnb à un prestataire est peut-être la solution.
Le premier avantage, c’est que vous allez gagner du temps : moins de messages à gérer, moins de ménage à faire, moins d’urgences à traiter.
Cette délégation devrait aussi en principe améliorer la performance de votre location :
un taux d’occupation qui augmente grâce à une meilleure réactivité dans les réponses ;
des avis plus positifs grâce à une communication plus fluide et des prestations soignées ;
un prix moyen par nuitée plus élevé grâce à une valorisation de votre bien et une tarification dynamique.
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Les + :
L’ autogestion est l’option la plus économique, mais aussi la plus chronophage. Vous gérez tout vous-même : messages, arrivée des voyageurs, ménage, maintenance, tarification. Vous pouvez opter pour cette solution si vous êtes proche du logement et que vous avez du temps.
Recourir à un co-hôte consiste à déléguer une partie ou la totalité des tâches liées à la location. Celui-ci peut gérer la communication, les check-in, le ménage ou les petits dépannages. Le co-hôte n’est généralement pas disponible 24h/24 et 7j/7. La qualité de services est également variable selon le prestataire. Les commissions tournent souvent autour de 10 à 20 %. Cette option convient aux propriétaires qui n’habitent pas loin du bien et qui recherchent une aide à la carte.
Avec une conciergerie, vous déléguez toute la gestion opérationnelle : messages 24/7, ménage, check-in, photos, tarification dynamique, gestion des imprévus. Les commissions varient généralement de 18 à 30 % selon le niveau de service. C’est l’option la plus utilisée par les propriétaires qui habitent loin ou qui ont plusieurs biens à gérer.
Enfin, certaines agences immobilières proposent des formules « location saisonnière ». Elles peuvent prendre en charge l’accueil des voyageurs, ainsi que votre comptabilité et parfois même la gestion de la taxe de séjour. Les commissions se situent entre 12 et 25 % selon les villes. Cette option est rassurante pour ceux qui connaissent déjà l’agence.
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Option |
Avantages |
Inconvénients |
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Autogestion |
Coût faible Contrôle total sur le logement et les décisions |
Très chronophage Risque de baisse de qualité si manque de réactivité |
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Co-hôte |
Soutien flexible Délégation partielle des tâches Coût modéré |
Qualité et réactivité variables selon le prestataire Pas toujours disponible 24/7 |
|
Conciergerie spécialisée |
Gestion complète Réactivité 24/7 Optimisation du rendement |
Commission plus élevée Dépendance au prestataire |
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Agence traditionnelle |
Interlocuteur connu Prise en charge possible de la comptabilité et de la réglementation |
Services parfois limités par rapport à la conciergerie Moins d’optimisation tarifaire et marketing Plages horaires plus restreintes |
Voici d’autres critères à prendre en compte pour bien choisir :
La réactivité du gestionnaire : celui-ci doit répondre rapidement aux voyageurs, idéalement en moins d’une heure, pour maintenir la visibilité de votre annonce sur Airbnb ;
Ses délais d’intervention : en cas d’incident ou de ménage urgent, le prestataire doit pouvoir intervenir rapidement ;
La transparence de ses tarifs : toutes les commissions et frais doivent être lisibles pour vous ;
Les conditions de résiliation : vous devez pouvoir mettre fin au contrat de prestation facilement.
Si vous voyez votre note baisser sur Airbnb ou les mauvais avis s’accumuler, il convient de vous interroger sur votre choix.
Déléguer la gestion de votre Airbnb a un coût. Il faut donc vérifier que votre investissement reste rentable. Pour cela, vous devez calculer votre revenu net réel :
Revenu net = (prix moyen facturé × nuits occupées) – commissions – frais de ménage – consommables – maintenance – temps valorisé
Bon à savoir :
Le
temps valorisé permet de mesurer le vrai coût de l’autogestion. Même si vous ne payez personne, le temps que vous consacrez à répondre aux messages, gérer les check-in, organiser le ménage ou régler des imprévus a une valeur économique. Estimez ce temps à un tarif horaire réaliste pour calculer votre revenu net réel.
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Option |
Commissions |
Coûts de gestion et d’exploitation |
Revenu net estimé |
|
Autogestion |
0 € |
300 € |
1 700 € |
|
Co-hôte (15 %) |
300 € |
300 € |
1 400 € |
|
Conciergerie (25 %) |
500 € |
300 € |
1 600 € |
|
Agence traditionnelle (12 à 25 %) |
240 € |
300 € |
1 460 € |
Comme nous vous le disions, vous devez aussi intégrer la notion de temps valorisé dans vos calculs. Le coût de la délégation vous dégage aussi de la disponibilité. Il vous revient d’en estimer l’intérêt pour vous (moins de charge mentale, temps consacré à d’autres projets d'investissement, etc.).
Cette délégation vous coûte trop cher ? Dans ce cas, vous pouvez :
augmenter vos tarifs à la nuitée ;
facturer des services annexes aux voyageurs : ménage, arrivée tardive, kits de bienvenue, parking ;
encourager les réservations pour plusieurs nuits ;
ajuster automatiquement les prix selon le niveau de demande, les événements locaux ou la saisonnalité (tarification dynamique).
Que vous passiez ou non par un prestataire, vous devez veiller à respecter la réglementation relative aux locations saisonnières.
Concrètement, il faut :
Déclarer votre logement en mairie ;
Vérifier si vous devez demander une autorisation de changement d’usage ;
Vérifier le règlement de votre copropriété (si concerné) : certaines copropriétés interdisent ou limitent la location courte durée ;
Respecter la limite de 120 jours par an pour la location d’une résidence principale dans les communes où l’enregistrement est obligatoire et où le changement d’usage nécessite une autorisation. Attention, la loi Le Meur permet aux communes de réduire ce seuil à 90 jours ;
Vous assurer que le logement comprend les équipements de base fixés par le décret n° 2015-981 du 31 juillet 2015.
Notez enfin que tout bien meublé loué de manière temporaire dans une commune touristique peut entraîner le paiement d’une taxe de séjour, forfaitaire ou fonction du nombre d’occupants. Airbnb s’en charge automatiquement, mais vous devez vérifier le bon reversement de cette taxe à la commune ou l’EPCI.
Information importante :
Vous envisagez d’installer un système de surveillance dans votre logement ? Attention, depuis le 30 avril 2024, les caméras intérieures sont interdites dans les Airbnb, même lorsqu’elles sont désactivées.
Vous devez aussi déclarer les gains issus de votre activité à l’administration fiscale. Il y a deux régimes d’imposition possibles :
Le régime micro-BIC : l’administration applique un taux d’abattement au montant de recettes annuelles déclaré par le loueur pour déterminer le montant imposable. Le taux d’abattement est de 50 % (30 % pour les meublés de tourisme non classés). Ce régime est soumis à des plafonds de recettes annuelles ;
Le régime réel : le montant imposable est déterminé après déduction de l’intégralité des charges que vous avez supportées pour les besoins de votre activité de location meublée, mais également de la valeur de l’amortissement du logement, ainsi que du mobilier et des travaux.
En cas de doute, il est recommandé de faire appel à un expert-comptable spécialisé. Le choix de votre régime d’imposition a en effet un impact réel sur la rentabilité de votre investissement.
Enfin, il est important d’assurer votre bien et votre responsabilité. Vous pouvez souscrire une assurance PNO (Propriétaire Non Occupant). Elle protège le propriétaire contre les sinistres (incendie, dégâts des eaux, vol, etc.) qui ne seraient pas couverts par l’assurance du locataire. Notez que la responsabilité civile est généralement incluse dans votre contrat d’assurance habitation, mais il faut vérifier qu’elle couvre bien les locations meublées de tourisme.
Vous devez identifier les points forts de votre logement (vue, équipements, décoration) et comparer votre bien aux autres sur le marché local (prix, taux d’occupation, services inclus).
Cela vous permet de connaître vos forces et faiblesses et de déterminer le niveau de service nécessaire pour attirer des voyageurs. Vous allez pouvoir aussi évaluer si vos revenus couvrent les coûts liés au recours à un prestataire
Pour choisir un prestataire, vous devez commencer par lister vos besoins de services. Cela va simplifier la comparaison des devis.
Idéalement, optez pour un prestataire qui propose :
une période test afin d’évaluer la qualité de ses services ;
des tarifs transparents ;
des modalités de résiliation simples.
Une fois que vous aurez choisi, il est recommandé de définir des indicateurs clés (KPI) comme le temps moyen de réponse aux messages des voyageurs, le taux de satisfaction des clients, la régularité et la qualité du ménage, ainsi que le respect des horaires d’entrée et de sortie.
Puisque vous avez choisi de déléguer la gestion de votre logement, il est important aussi de repartir sur de bonnes bases en revoyant votre annonce. Selon le niveau de délégation, cette tâche peut être prise en charge par le prestataire.
Dans tous les cas, votre annonce doit comporter des photos attractives. La description doit être claire et mettre en avant les caractéristiques différenciantes de votre logement. Vous devez aussi attacher de l'importance au titre et à la présence de mots-clés.
Souvent négligé, le livret d'accueil est pourtant un véritable outil de communication : il reflète votre sens de l’hospitalité et renforce l’image professionnelle de votre location.
Vous pouvez y mentionner :
les codes d’accès du Wi-Fi ;
les modalités de fonctionnement des appareils électroménagers ;
les règles concernant les fumeurs, les animaux ou le respect du voisinage ;
les contacts d’urgence pour la plomberie, l’électricité ou tout autre problème ;
des conseils touristiques.
Vous devez définir précisément ce que vous attendez pour chaque rotation de voyageurs :
ménage complet ;
réassort des consommables (savon, papier toilette, café) ;
changement du linge ;
contrôle des équipements ;
vérification que tout est conforme aux règles de sécurité.
Si vous constatez que vous récoltez des avis négatifs ou que votre note Airbnb baisse, il conviendra de refaire le point avec le prestataire.
La tarification dynamique consiste à adapter automatiquement le prix de vos nuits en fonction de la demande, de la saison, des événements locaux et du taux d’occupation. Vous pouvez le faire manuellement ou bien utiliser un outil qui ajuste les tarifs en temps réel. Le prestataire peut gérer cette tarification pour vous.
Pour savoir si votre délégation fonctionne, il est indispensable de suivre vos indicateurs de rentabilité. Par exemple, vous pouvez créer un tableau qui mentionne chaque mois le taux d’occupation, le revenu moyen par nuitée, les commissions et les frais (ménage, maintenance, consommables). Vous pouvez également suivre les avis clients et la note moyenne. Ensuite, il faut analyser ces chiffres chaque trimestre pour détecter les tendances et identifier les points d’amélioration.
Votre bien est présent sur plusieurs plateformes ? Vous pouvez utiliser un PMS (Property Management System) ou un channel manager pour :
synchroniser vos différents calendriers et ainsi éviter les doubles réservations ;
automatiser la communication avec les voyageurs ;
suivre les paiements, les factures et vos statistiques de performance.
Nous vous en parlions précédemment, vous pouvez utiliser un logiciel de tarification dynamique. Cela vous permet d’ajuster vos prix en temps réel selon la demande, la saisonnalité ou les événements locaux.
Enfin, si vous habitez loin de ce logement, vous pouvez aussi mettre en place :
des serrures connectées ou des boîtes à clés sécurisées pour faciliter l’arrivée des voyageurs ;
de la domotique pour le chauffage, la climatisation ou l’éclairage.
Tous ces outils doivent être connectés pour fonctionner de manière fluide. Par exemple, le logiciel de gestion centralise le calendrier, envoie les informations au logiciel de tarification, transmet les codes des serrures aux voyageurs et informe l’équipe de ménage des nouvelles réservations.
Bon à savoir :
Tous vos outils doivent protéger les données personnelles de vos voyageurs, conformément au RGPD.
Il faut adopter des standards proches de ceux d’un hôtel. Le prestataire doit donc systématiquement effectuer le ménage entre chaque séjour, avec une attention particulière portée aux détails.
Le linge doit être propre et en quantité suffisante. Il est recommandé aussi d’inclure les consommables de base (savon, papier toilette, café/thé).
Vous pouvez aussi prévoir un petit cadeau d’accueil ou quelques attentions supplémentaires.
Nous vous en parlions précédemment, vous pouvez mesurer la performance de cette délégation en suivant plusieurs indicateurs clés : taux et délai de réponse, note moyenne sur Airbnb, taux d’occupation, etc.
Vous disposez de chiffres de votre côté, mais vous pouvez aussi adresser un questionnaire de satisfaction aux voyageurs. Il permet de recueillir des retours qualitatifs sur leur expérience et sur des points que les chiffres ne révèlent pas toujours, comme :
la clarté des instructions d’arrivée et de départ ;
l’état général et la propreté du logement ;
le confort et la qualité du linge ou des équipements.
Vous devez aussi rédiger un contrat avec votre prestataire afin de sécuriser cette collaboration. Ce document doit formaliser vos attentes et clarifier les responsabilités de chaque partie. Il peut notamment inclure les points suivants :
Propriété des annonces et des avis : vous restez propriétaire de vos annonces et des retours des voyageurs, même si le prestataire gère la publication ;
Transparence comptable : toutes les opérations financières doivent être accessibles, avec un suivi clair des revenus, des commissions et des frais ;
Pénalités : si le prestataire ne respecte pas les engagements (propreté, temps de réponse, check-in/out), il risque des pénalités ;
Durée et préavis : il faut définir la durée du contrat et les conditions de résiliation ;
Audit de fin de période : vous pouvez prévoir un contrôle régulier des performances.
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Tarification non dynamique : vos revenus seront inférieurs à ce que vous pourriez générer. Il faut ajuster vos prix selon la demande, la saison et les événements locaux ;
Annonce mal présentée : il faut investir dans des photos professionnelles et soigner la description pour retenir l’attention du voyageur ;
Description surprometteuse : ne vendez pas monts et merveilles. Soyez réaliste sur les équipements et services proposés pour ne pas générer d’avis négatifs ;
Des prestations insuffisantes : vous devez contrôler la qualité du ménage et de la communication avec le voyageur. Il faut aussi veiller à ce que votre logement soit correctement entretenu ;
Le non-respect de vos obligations légales et fiscales : les règles encadrant les locations saisonnières sont strictes. Même si vous passez par Airbnb, vous devez en parallèle respecter vos obligations (déclaration en mairie, assurances, déclaration de revenus, etc.).
Vous louez un meublé touristique en ville ? Pour améliorer votre rentabilité, il est recommandé d’ajuster vos tarifs en fonction des événements locaux, comme les salons ou les festivals. Vous pouvez aussi cibler les voyageurs d’affaires et valoriser la présence de services adaptés : Wi‑Fi performant, espace de travail, accès facile aux transports.
Votre bien se trouve en bord de mer ? Les vacanciers aspirent certainement au calme et à la détente. Soignez la décoration et proposez des équipements différenciants : parking, serviettes de plage, matériel de loisir. Là aussi, il faut adapter vos prix selon la saison.
Enfin, pour un logement à la montagne, il faut là aussi répondre aux attentes des voyageurs : local à skis, chauffage performant, chaussures et sèche‑chaussures, salon cosy avec cheminée ou poêle, etc. En basse saison, il vous faudra prévoir des offres adaptées : promotions flash, réductions pour les séjours plus longs ou des services supplémentaires inclus.
Votre taux d’occupation varie fortement au cours de l’année ? Vous enregistrez de longues périodes de vacance ? Vous pouvez louer votre bien en longue durée de septembre à juin et opter pour de la location saisonnière en été.
Cette solution est efficace mais nécessite de connaître la réglementation propre à chacun de ces types de location. Vous devez aussi anticiper les implications fiscales de cette stratégie. Par exemple, si vous êtes au micro-BIC, les plafonds de recettes et les abattements ne sont pas les mêmes pour de la location longue durée et les meublés de tourisme non classés.
Un co‑hôte assiste ponctuellement le propriétaire sur certaines tâches comme la communication avec les voyageurs ou le check‑in. La conciergerie peut prendre en charge l’intégralité de la gestion du bien, du ménage à l’accueil des voyageurs. Une agence de gestion locative peut en plus gérer la comptabilité et les aspects réglementaires.
Il faut estimer le temps que vous passez sur les tâches de gestion (réponses aux voyageurs, ménage, maintenance, administratif). Transformez ensuite ce temps en coût horaire. Cela va vous permettre de savoir si déléguer certaines tâches à un prestataire peut être rentable.
Vous pouvez suivre le taux de réponse aux messages, la note moyenne des voyageurs, le taux d’occupation, le taux d’annulation, le temps d’intervention technique et le score de propreté.
L’annonce et les avis doivent rester votre propriété. Cela vous permet de les conserver même en cas de changement de prestataire.
Vous pouvez installer un système de check‑in à distance (serrures connectées, boîtes à clés sécurisées). Dans le livret d’accueil, mentionnez aussi toutes les informations utiles aux voyageurs (code Wi-Fi, manuel pour les appareils électroménagers, numéros de secours, etc.). L’objectif est de réduire au maximum la nécessité d’une intervention physique.
Vous pouvez définir des règles strictes dans le règlement intérieur et les rappeler dans l’annonce et le livret d’accueil. Vous pouvez aussi installer des capteurs de bruit, mais attention : ces dispositifs doivent surveiller les niveaux sonores sans enregistrer les conversations ou activités privées. Vous devez aussi mentionner leur présence aux voyageurs.
Il est recommandé de souscrire une assurance Propriétaire Non Occupant (PNO) en complément de votre assurance habitation. Il faut aussi vérifier que votre responsabilité civile couvre bien la location saisonnière.
Airbnb prend en charge la collecte et le reversement de la taxe de séjour. Le montant dû est automatiquement ajouté au prix de la réservation.
Oui. Il faut toutefois bien maîtriser la réglementation locale et les obligations fiscales propres à chaque type de location.
Le contrat doit préciser que vous restez propriétaire des annonces et des avis. Il faut aussi clarifier les tarifs, les services inclus et définir les modalités de fin de contrat. Vous pouvez aussi prévoir un contrôle régulier de la qualité des prestations.
Article rédigé par Stéfano Demari